La mobilité douce électrique, comment ça marche?
Si la voiture reste largement en tête dans le choix du mode de transport des Suisse-sse-s, les modes de mobilité douce électrique commencent à s’imposer dans la manière de se déplacer. On peut, par exemple, citer le vélo électrique, le gyropode, le monocycle ou encore la planche à roulette électrique.
Mais alors, quel permis est nécessaire pour conduire ces engins? Peuvent-ils circuler sur la route ou sur la piste cyclable? La mobilité de demain devient de plus en plus complexe et il convient de comprendre comment une cohabitation multimodale est possible.
Le SCAN s’est préoccupé de comprendre comment ces nouveaux moyens de transport s’intègrent à la mobilité de tous les jours et a créé une page internet simple pour décrypter chaque type de véhicule électrique.
Depuis quelques années, la mobilité douce tente de se positionner comme troisième pilier dans la structure des transports de personne, aux côtés du trafic individuel motorisé et des transports publics. L’un de ses avantages est qu’elle peut se suffire à elle-même, ou s’utiliser en combinaison avec un autre mode de transport.
Utiliser un moyen de mobilité multimodale c’est bien, pour autant que l’on respecte les règles de la circulation le concernant. Qui peut rouler avec quoi et où, réponse complète sur ce lien-ci.